La rose noire [taverne]

Invité

La jeune tueuse continuait de parcourir les ruelles, sans avoir laché le poignet de l'elfe. Se postant enfin devant une taverne, elle le lacha.
"Si nous voulons reussir, il nous faudra une certaine confiance, voir complicité. Va te poster à l'arrière du batiment, près d'une porte. Et lorsqu'un homme en sortira, place ta lame sous sa gorge, puis attendant mon arrivée..."

Invité

il dit oui d'un signe de tete et prit son poignard discretement puis il alla a l'arriere de la taverne et se tapis dans l'ombre...vingt minutes passerent sans aucun mouvement puis la porte s'ouvrit rapidement pour laisser sortir un homme qui paraissait anxieux.mithrandir bondit, le plaqua au mur et mit sa lame contre la gorge de l'inconnu puis attendit erisnyx sans un mot...

Invité

Eris était rentré dans la taverne, et cherchait un homme à la carrure imposante. Lorsqu'elle l'aperçut, un homme la heurta. Se retournant, elle lui lanca un regard glacial, chose qu'il n'apprecia pas. Commencant à insulter la jeune femme et à attirer l'attention, Eris le saisit par le bras, le plaqua contre un mur, et lui planta son poignard dans l'arrière de la nuque. Commencant à se mettre du sang plein la main, elle déposa l'homme sur une chaise, toujours contre le mur. Personne ne s'était rendu compte de rien, et c'etait parfait. La tueuse rengea son poignard, dissimulant ses mains. Se dirigeant droit vers sa cible, l'homme le vit, comme il etait prévut. Affolé, il passa par l'arrière de la taverne. *Excellent...* Suivant ses pas, Eris sortit tranquillement de la taverne, et observa Mith qui le maintenait en respect.
"Bien... Nous avons un compte à regler me semble-t-il..."
L'homme se mit à trembler, par peur de la tueuse mais aussi par le poignard qui restait sous sa gorge.
"Je...je ferais ce que tu veux !
_ Alors, où est l'entrepot ?! ordonna-t-elle acidement.
_ A... En face de... L'armurier !
_ Me mens-tu ? demanda-t-elle en sortant son épée, l'observant.
_ N...Non ! Je le jure !
_ Parfait... Dans ce cas, tue le Mith'... Un traître vivant est une vermine sur terre..."
Eris n'avait pas oublié ce que cet homme avait fait dans le passé, et si Mith' ne le tuait pas, alors elle s'en chargerait...

Invité

-tu es sur?

ne voyanw aucun signe il trancha net la gorge de l'homme puis planqua le corps du traitre derierre une grosse caisse

Invité

Eris esquissa un sourire. Mith' lui faisait confiance en ses actes, ce qui devait être primordial vu ce qu'ils allaient faire.
"J'en étais sur oui. N'éprouve aucuns remords surtout."
Elle se rapprocha de l'elfe, adoucissant son regard.
"La confiance qui nous relie doit être innebranlable, ou alors nous perirons sur place..."

Invité

-des remords,je n'en ai pas...

[i]il acquisca quand elle lui dit que si ils n'avaient une confiance absolu l'un envers l'autre ils courraient a la faillite

Invité

"Alors, nous ferons un travail absolument parfait..."
Eris s'écarta de l'elfe, secouant legerement la tête. *Un travail parfait... Faut-il encore que je sache ce qui m'arrive...* Reprenant son naturel, elle déclara :
"Il nous faut aller à l'entrepot. Une fois notre visite la-bas, nous devrons trouver une auberge."

Invité

-ok allons a l'entrepot plus vite on aura fini plus vite on aura la tranquilite...

[i]la nuit les entourait les cachant dans l'obscurite la plus totale[i]

-tu y vois?

Invité

Eris n'avait pas fait attention à la nuit, et regardant tout autour d'elle, elle fit une mimique.
"Je n'y vois pas grand chose, mais je sais me reperer... N'oublie pas que les assassins opèrent souvent la nuit."

Invité

-hmmm ben moi j'y vois rien donc...

il enclancha son pouvoir ses yeux devinrent blanc et soudain tout lui sembla plus clair

-c'est mieux ainsi

Invité

La jeune tueuse esquissa un sourire en voyant les yeux de son partenaire devenir blancs. C'était rare qu'elle sourisse... Avancant alors dans les sombres ruelles, elle se dirigea vers l'entrepôt, songeuse. Alors qu'elle passait près d'une impasse, la main sur le pommeau, on l'attrapa par derrière, lui plaquant une main sur la bouche et une dague sur la gorge.
"T'as tête vaut de l'or... C'est pourquoi je vais me faire une joie de la séparer de ton jolie corps..." siffla-t-on à son oreille. Immobilisée, Eris reflechissait à comment s'en sortir. Cependant, ses sens etaient troublés, son agresseur empestait quelque chose qui etait en train d'affaiblir la tueuse, de la déboussoler.

Invité

-euh sans vouloir vous offenssez on ne s'attaque pas aux jeune femmes...surtout quand je les connais

mithrandir planta son poignard dans le crane de l'inconnu...et tira eris juste a temps pour que le tueur ne l'egorge pas

Invité

Eris tomba à terre sur les genoux, les mains plaqués sur le sol. Les yeux fermés, la tête vers le bas, elle reprenait peu à peu ses esprits. Elle tourna legerement la tête, regardant le corps de son agresseur.
"Il va falloir... Changer nos plans..." fit-elle à voix basse, continuant de s'en remettre.

Invité

-un peu d'improvisation?
il jeta un oeil a l'assaillant gisant sur le sol.puis le planqua derriere deux tonneau.puis il sentit sa vu se brouiller et desactiva son pouvoir,il voyait trouble il lui fallait un choc
-eris...frappes-moi

Invité

La jeune femme se retourna, observant son partenaire etrangement.
"Te frapper ? Mais pourquoi ?..."
Se relevant en s'aidant du mur, la tueuse se rappocha de l'elfe. Voyant que celui-ci insistait, elle le giffla, préférant ne pas lui donner un coup de poing.
"Ca va... mieux ?"

Invité

il ne vit plus rien puis tout redevint normal...
-merci j'en avais besoin mon don me cause des ennuis

Invité

Eris resta surprise.
"Te cause des problèmes ?..."
Mais elle secoua la tête, preferant ne pas en savoir plus.
"Il se fait tard, pour faire un tour dans l'entrepot ce soir, c'est fichu, et trop dangereux... Trouvons plutôt une auberge."

Invité

-tu en connais une?moi et hortonur c'est pas trop ca...
il se dit interieurement
*si elle est comme yria je vais pas dormir...*
il sourit et demanda
-je pourrais dormir ou tu te feras attaque

Invité

Eris fut une fois de plus surprise par cette remarque.
"Attaquer ?... Je ne pense pas non... Bon allez, suis-moi..."
Elle repartit en direction d'une auberge qu'elle connaissait vaguement.
"Euh... Ca te derange si on partage la même chambre ? Je n'ai pas les même moyens qu'Yria.."

Passant avec la sentinelle par la caserne qui se dressait hélas avec peu de prestige dans les quartiers modestes de la cité, en un état peu enviable, du fait du peu de gardes qui pouvaient la maintenir en état, Asphärr et son guide ne trouvèrent le dénommé Jesper qui avait fait mander l'ancien soldat depuis sa retraite. Abandonnant sa monture aux écuries jouxtant la caserne, l'homme, à proximité du bâtiment, vint à la rencontre d'un soldat en patrouille, et lui demanda sans détour où trouver son ami.

"Soldat, sais-tu où est le capitaine Jesper?"

Demeurant silencieux quelques secondes, soit par reflexion soit par surprise, la sentinelle énonça tout de même quelques mots, ne prononçant que le nom d'un établissement du quartier, à quelques pas. Remerciant brièvement le garde, un sourire de contentement parcourant son visage, du fait de la joie que semblait lui procurer son retour dans la capitale, Asphärr adopta une allure vive, et ouvrai désormais la marche, précedant le soldat qui l'avait acceuillit avec tant de déference aux portes de la ville. Arrivant finalement face à l'établissement dont on lui avait soufflé le nom, observant la pancarte qui branlait sous les coups du vent qui s'engouffrait en prenant vitesse et puissance dans les rues, le soldat et son acolyte pénétrèrent dans la taverne, où il ne semblait y avoir que guère d'affluence à telle heure de la journée. Faisant quelques pas, lents et marqués par le fracas des jambières sur le sol couvert de planches d'if semblant touchées par le temps et l'usure malgré une resistance remarquable, Asphärr attarda son regard sur un homme, se tenant assis seul face à une choppe, un oeil distrait porté sur un écusson pendant aux murs, décoré avec les mêmes armoiries que celles ornant la pancarte trônant à l'entrée de l'établissement. Avançant rapidement vers lui, son sourire alors pâle s'accentuant, le soldat, et le garde fermant la marche, vint vers l'homme au regard fuyant, et martela le sol de la hampe de sa lance, qu'il tenait pointe abaissée tant la démesure de son arme ne s'accordait guère avec la faible hauteur de plafond.

"Heureux de te revoir enfin Jesper."

L'homme, surpris, mais laissant apparaître un sourire alors qu'un léger rire lui échappait, porta son regard vers Asphärr, qui se dressait debout face à lui, le dominant, et observait le contentement que causait sa venue au dénommé Jesper.

"Ah, tu es finalement revenu. Je ne t'attendais plus, Commandant."

"Allons, cessez d'utiliser ce sobriquet, tous, je ne suis plus ton commandant. Enfin, escuse mon retard, j'avais certaines choses à régler. Revenir ici n'est pas une mince affaire."

Asphärr laissa paraître son anxiété, avant que son interlocuteur ne le sorte de ses pensées.

"En tant que ton bras droit, Aspharr, je me dois de te dire que tu es bien notre Commandant. L'armée est en déroute, le seigneur Galeon et le Conseil pallient tant qu'ils peuvent à l'hémoragie qu'à causé le roi en s'engageant en conflit ouvert contre le Royaume Sombre, mais l'unité majeure du Griffon Blanc doit agir pour Hortonur, sous tes ordres. On a plus rien, Aspharr, le Conseil est prêt, il t'attend..."

L'anxiété du soldat s'accentua, puis céda la place au dépit, lorsqu'Asphärr, croisant le regard de l'homme se tenant face à lui, reprit la parole.

"Ils m'attendent? La situation est donc si mauvaise? Hm, il n'y a donc plus de garde, et plus de structure parmi les forces armées, quelle débandade... J'irai voir Galeon et son Conseil, si il nous faut en arriver là. Mais... L'unité est toujours là?"

"Oui, monseigneur Galeon l'a placé sous son égide, et lui a évité de partir en campagne, sans toi. Le comte Julius ayant été assassiné par un de ces brigands arpentant désormais sans soucis les rues, il n'y avait plus de gradé avec assez de cran pour faire face à ça."

Se tenant immobile, silencieux et attentif, Asphärr hocha positivement la tête lorsque le soldat eut conclut, et ainsi que ce fut convenu s'assit, résolu à faire face au Conseil d'Hortonur après avoir pu partager du temps et quelques choppes d'alcool des plaines avec son camarade et second du temps de l'armée, désormais loin d'être révolu.

» Le Serail d'Onyx [taverne]
» Taverne: Le troll rugissant
» Le Leopard Noir [Taverne]
» L'Azzan Bleu [taverne]